Nous quittons la ferme demain... et nous n'avons même pas pris le temps d'expliquer où nous étions... voici l'oubli réparé !
Nous avons passé une semaine de calme et de dépaysement. Nous avons été accueillis si chaleureusement que nous nous sommes sentis en famille. Nous garderons de supers souvenirs de Stéphanie et Yannick (qui nous a sorti la voiture d'une mauvaise pente...), de Nancy et l'équipe administrative, de Derek et Antony, nos guides et surtout de Madame Catherine et Madame Claire, les cuisinières... qui nous ont concocté des petits plats rien que pour nous et qui ont même accepté de nous donner quelques unes de leurs recettes fétiches !
Le site de la ferme : cliquer ici !
Quelques mots sur l'histoire de la ferme...
Tout
commence en 1979 par le rêve d’une petite famille de Sacré-Cœur. Claude et
Imelda, jeunes mariés issus de familles agricoles comptant respectivement 12 et
10 enfants, souhaitent bâtir une vie familiale en harmonie avec la nature et
les animaux.
Avec
leurs trois jeunes enfants : Bastien, Jimmy et Stéphanie, ils quittent
leur maison pour s’établir sur un lopin de cinq acres de terre à sept
kilomètres du village. Ils rénovent la maison qui constitue aujourd’hui l’auberge
principale de la Ferme 5 Étoiles. Ils expérimentent alors cinq productions :
horticulture, élevage de bovins, de cerfs, de poules pondeuses auxquelles ils ajoutent une érablière en 1986, la seule cabane à sucre de la région.
Ces
cinq activités différentes et complémentaires nécessitent l’implication des
cinq membres de la famille soudés dans ce projet commun. Le chiffre de cinq et
le scintillement exceptionnel des étoiles dans le ciel inspirent aux fondateurs
le nom de l’entreprise : Ferme 5 Etoiles.
L’accueil
et les réflexions de nombreux clients locaux et régionaux, incitent la petite
famille à se tourner vers de nouvelles perspectives, notamment l’hébergement à
la ferme. Le succès s’avère si fulgurant qu’en haute saison, enfants et parents
doivent parfois partager la même chambre afin de répondre à la demande
touristique.
En 1990, la maison familiale devient « gite du passant »
et trois chalets sont mis à disposition de la clientèle. La table réservée à notre petit déjeuner familial ne cesse pas
de s’agrandir accentuant amitiés,
échanges d’idées, de développement et d’avenir.
Rêves,
joies et bonheurs grandissent au fil des ambitions et des améliorations
soutenues : diversification des hébergements, développement et
multiplication d’activités plein air quatre saisons, aménagement du site de la
ferme, obtention du permis de Centre d’Observation de la faune, acquisition de nouveaux
animaux, achat de nouvelles terres et lots boisés donnant accès au majestueux
fjord du Saguenay créant ainsi un domaine de plus de 300 ha.
En
l’an 2000, dû à l’expansion croissante, la famille se tourne vers un nouveau
défi : les enfants Jimmy et Stéphanie deviennent copropriétaires avec leur
père.
En 2007, à la retraite des fondateurs, Yannick, conjoint de Stéphanie, se
joint à l’équipe de direction. Bastien, l’ainé, devenu ingénieur, occupe un
poste de direction au sein de la scierie locale Boisaco tout en y conservant un
rôle de conseiller économique.
Les
mines réjouies des nombreux visiteurs, les témoignages d’encouragement, le
bouche à oreille, les prix de reconnaissance régionaux et nationaux de l’industrie
touristique contribuent à encourager notre équipe dynamique qui compte plus de
trente employés en 2010. Notre faille comptant maintenant neuf petits-enfants,
contribue à améliorer et développer la
Ferme 5 Etoiles afin de vous faire partager le rêve initial de Claude et Imelda :
« Là où se vit le rêve, s’éternise le temps… ».
Jimmy était entrain de se dorer la couenne quelque-part dans le Sud... nous avons été accueillis par Stéphanie et Yannick.
Chira, Buddy et Mahya, les trois chiens de la ferme ne nous ont pas quittés non plus d'une semelle !
La maison familiale, maintenant gite du passant |
L'accueil |
La cabane à sucre et la partie hôtel |
Le pick-up salvateur de Yannick |
Un bison qui a fini en cuisine... |
La salle commune |
Madame Claire aux fourneaux |
Les tipis... non utilisés l'hiver ! |
Yannick, nous faisant déguster la tire sur neige |
Chira, la chienne de la ferme |
Notre chalet |
Notre petit chez-nous |
Toujours notre petit chez-nous ! |
Myriam a nourri les plantes et les assistantes ont arrosé bubulle enfin ca doit être l'inverse.
RépondreSupprimerici vendredi moins 17°C ressenti + neige = bordel
à 17 heures au moment de la sortie des bureaux.
Nous n'avions ni traineau, ni chien, ni vin chaud
Pensons bien à vous Myriam, catherine, jean cricri, yolande.
Merci pour les plantes et pour Bubulle !
RépondreSupprimerNous ici, tout va bien ! Ce n'est pas l'bordel même quand il neige... allez comprendre... on ne doit pas être doués en France :o)