Tant pis, nous devrons donc nous contenter d'un seul trou ! Les cannes à pêche sont rudimentaires : des bouts de crosses de hockey détournées et bricolées... un simple fil et, au bout, un petit poids et un hameçon.
Une fois le ver de terre enfilé, voilà nos deux lignes à l'eau...
Au bout d'une heure d'attente, nous avons une touche... fausse alerte, il n'y a rien au bout du fil !
Au bout de deux heures d'attente, malgré le soleil, nous commençons à avoir un peu froid !
Nous abandonnons, bredouilles...
Antony nous promet de réparer la perceuse et nous redonner notre chance avant que nous partions samedi !
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